Le constat est à la fois amer et troublant. L'être humain est, entres autres définitions sociologiques, un acteur social qui construit et détruit son environnement immédiat ou lointain. Il menace constamment la biodiversité dont il fait parti. Après les grandes crises économiques, politiques, sociales, culturelles, intellectuelles, alimentaires..., il est encore légitime de se demander pourquoi nous sommes encore cramponnés au service du mal. On'arrive pas, jusqu'à présent, à transcender ces faits néfastes en un acquis positif. Que vous soyez ici ou ailleurs, ce qui se passe au Mali, en Plastine, en Tunisie, en Syrie et un peu partout dans le monde,doit interpeller directement votre conscience si vous êtes, effectivement, animé de l'éthique sociale. Cette dernière, loin d'être un obstacle pour la vie de l'homme et des autres êtres vivants, se veut fédératrice.
Malgré la mise en place de l'ONU et son conseil de sécurité, le droit international..., on patauge encore dans des conflits. Certains pays restent abandonner au chapitre de la guerre. A côté des grandes puissances qui ont une balance commerciale excédentaire, de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), la famine fait des ravages. Des enfants subissent les conséquences de cette passivité humaine...
Sur le plan international, les structures de santé titubent avant de secourir les femmes en état de grossesse. Cela est visible dans des pays africains et autres pays en voie de développement où des femmes meurent en donnant la vie. Que faire face à ces multiples situations qui ne cessent de prendre de l'ampleur avec ses cortèges de dégâts . Je ne sais pas. Ma volonté, ce n'est pas de proposer une ou des solutions. Parce que je suis un férus des faits sociaux. Mais je suis profondément convaincu que si chacun d'entre nous met son intelligence au service de l'humanité, du bien, de l’intérêt collectif enterrant le centre de sa géographie affective..., on déjouera, dans ce cas, beaucoup d’obstacles...
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